Art et Création
Je crée ou j’accède à mon espace personnel pour de multiples avantages
comme garder l’historique de mes recherches de formation, enregistrer et candidater à des offres d’alternance, et accéder à des guides d’accompagnement
Jean-Baptiste, Laure et Marie-Victorine sont trois jeunes ébénistes qui ont obtenu leur Diplôme des Métiers d’Arts
Lors de leur formation, les trois jeunes se plaisent à la SEPR : « C’était un bon cadre. On s’entendait bien avec les formateurs ; ils étaient toujours là pour nous épauler et c’était un échange de respect ». Ils en gardent surtout un bon souvenir car pour eux, le Diplôme des Métiers d’Arts a été le meilleur moment de leur cursus puisque c’est à ce moment-là qu’ils ont pu pousser la création et qu’ils ont pu mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris depuis le début de leur apprentissage du bois. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils conseillent à ceux qui voudraient suivre leur pas de bien profiter de la dernière année de DMA pour se lâcher et oser faire des choses créatives qu’ils ne pourront pas faire dans leur futur emploi.
Après l’obtention de leur DMA, les trois ébénistes décident de se lancer ensemble dans une aventure mêlant leur passion pour l’artisanat et leur envie de voyager. C’est ainsi qu’ils lancent le projet Rolling-Wood. Au départ, ils créent l’association Rolling-Wood pour soutenir et promouvoir l’artisanat dans les domaines de l’art et la création. Ainsi, ils vont à la rencontre d’artisans de Lyon et montrent leur travail à travers des petites vidéos qu’ils publient sur les réseaux sociaux. Cependant, leur projet va bien au-delà de la région et de la France. En effet, leur but est de partir sur les routes d’Europe et d’Asie en camping-car afin de faire des reportages sur des artisans de tous horizons. La mise en œuvre du projet n’est pas facile. N’ayant jamais monté de projets d’une telle ampleur, ils sont obligés « d’apprendre tout sur le tas ».
Le voyage débutera en avril 2019 et durera un an. Si leur objectif premier est de satisfaire leur propre curiosité, ils souhaitent également donner aux jeunes une autre vision de l’artisanat, rendre cela plus attractif.
